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"De nous, il faut que quelque chose reste…"

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souvenirs

6 things September

bonheur souvenirs

30 septembre 2017

1/ Cirque du Soleil – Nous sommes allés voir Ovo qui était de passage à Boston. C’est toujours un plaisir des yeux d’assister à un spectacle du Cirque du Soleil et contempler tous ces merveilleux artistes oeuvrer ensemble est vraiment une expérience extraordinaire. Ce n’était peut-être pas le meilleur crû mais les acrobaties étaient à couper le souffle.

2/ Vacances – Nous sommes partis à la découverte du Maine. Road trip de 5 jours qui nous en a mis plein les yeux. Je ne pensais pas autant aimer et pourtant le coup de coeur est immense.

3/ Malcolm – Bienvenue dans mon panthéon des meilleures séries tellement j’ai rigolé comme une dinde le long des 7 saisons.

4/ Vive l’Automne ! – Les citrouilles commencent à nous envahir et je n’ai qu’une hâte: porter enfin la nouvelle écharpe super frenchie que je me suis tricotée pendant notre road-trip. À 34 cm près, elle fait deux fois ma taille ! Toute en mérino, douce comme un agneau.

5/ Pains viennois maison – Je rêvais d’essayer la recette de Sandra des petits pains viennois très très chocolat. Finalement, c’est Cyp qui s’y est collé. Un délice.

6/ Hangouts evening – Cyp voyage de plus en plus pour le boulot, heureusement que Hangouts existe. Ce soir-là, le temps que j’aille faire pipi, Plume a pris ma place devant mon mac. Cette photo me fait trop rire.

bonheur souvenirs

playground love

nostalgie souvenirs

24 juillet 2017

J’ai rêvé de mon ami d’enfance.

Au moins 15 ans que nous ne nous sommes pas parlés. Nous avons perdu contact et je crois bien que la dernière fois que je l’ai vu, c’était au lycée. Je le recherche vite fait sur Facebook. Here he is.

C’est fou comme avec un seul élément, toute une partie de votre vie peut remonter à la surface; tous ces joyeux souvenirs, insouciants et innocents.

Cette suite de petits détails m’a laissé songeuse pendant de très longues minutes.

Je me revois, ado, jouant à Uno sous le saule-pleureur du jardin de mes grands-parents, avec lui, ses frères et les miens.

Parce qu’à l’époque ma vie familiale était catastrophique, je peux dire que le seul bonheur annuel était quand je le revoyais pendant les vacances d’été. Je crois qu’aujourd’hui, c’est surtout cette émotion qui fait remonter à la surface tout le reste. J’étais cet ado terrorisée par la vie, et mal dans sa peau à qui l’on octroyait un seul moment de répit par an: revoir le temps de quelques après-midi, l’ami d’enfance dont elle était secrètement amoureuse depuis toujours et à qui elle ne raconta jamais la réalité de sa vie mais se contenta de cacher au mieux sa détresse par les rires sincères d’une euphorie languie et retrouvée.

Vingt ans plus tard, l’adulte que je suis est heureuse et épanouie. Je suis mariée à un être que j’aime à la folie et cela inconditionnellement; et pourtant, depuis deux jours, cet évènement n’arrive pas à quitter mes pensées, telle une obsession, impossible à rayer de mon esprit.

Les émois d’une adolescente, enfouis pendant de longues années avant d’être complètement oubliés sont de nouveau parmi moi en cette semaine d’été 2017.

I’m a high school lover
And you’re my favorite flavor
Love is all, all my soul

You’re my playground love

Credits illustration: Mike Mills x The Virgin Suicides

nostalgie souvenirs

ces week-ends légers comme l’innocence

gratitude souvenirs

21 août 2016

Il y a ces week-ends où la vie semble si douce, si insouciante. Une lumière tamisée qui baigne la chambre où la grasse matinée est reine, des chats qui ronronnent, le chien qui n’attend qu’une chose: sortir. Le petit déjeuner est tardif, la balade digestive. Après le retour à la maison, sur le lit, chacun devant son ordi, à fermer les liens de la semaine qui vient de s’écouler, à coder, à murmurer des bribes de chansons sur la playlist du moment. Et puis ces quelques clichés, uniques, pris à la volée; tant pis pour le doigt sur l’objectif !
Il y a ces week-ends si singuliers, si sereins où rien ne semble insurmontable ou pénible. Où tout n’est que légèreté et espoir, émerveillement et gratitude, poésie et douceur de vie.

gratitude souvenirs

celle qui m’a sauvé la vie

espoir souvenirs

17 novembre 2015

Il y a quatre ans et demi, j’ai sombré dans la dépression. Mon voyage dans les limbes, comme j’aime l’appeler. Ce moment sournois de la vie où tout semble perdu, sans goût, sans intérêt, surtout sans vie. Cette honte que l’on tente de dissimuler le plus possible au reste du monde. Ce dégoût pour soi, cette envie de mourir parce qu’hélas, plus rien d’autre n’a lieu d’être dans cet enfer. Les limbes, c’est l’enfer. Rien de plus, rien de moins. L’entourage ne comprend pas, ne peut pas comprendre. Il n’y a que ceux qui en sont revenu qui peuvent comprendre.
Ce qui m’a rendu la vie, ce qui m’a fait revenir d’entre les morts-vivants, c’est ma chienne. Cette nouvelle addition dans notre famille. Cette adorable boule de poils qui n’attendait que nous. (Un jour, je te raconterai son histoire incroyable, de petit chien guadeloupéen abandonné).

Je l’ai appelée Xanax.

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espoir souvenirs

la valise

nostalgie souvenirs

30 octobre 2013

Nous sommes rentrés de vacances il y a quatre semaines maintenant. Et depuis, la valise est restée dans le coin de la salle à manger. Elle est toujours là, la valise avec le linge propre, les maillots de bain, les prospectus des offices du tourisme, les grains de sable et les souvenirs. Elle gène un peu si l’on veut bouger un meuble ou passer l’aspirateur. Les chats dorment dessus à tour de rôle. Etrangement, tout cela ne me dérange pas. Pourtant, ce n’est clairement pas sa place. La valise n’a rien à faire là, sous nos yeux et ceux de King Kong (l’affiche ramenée de New York). Mais je ne sais pas, c’est un peu comme si sa présence là, quasi prête à partir, me rassurait.

En ce moment, notre vie est comme un épisode de transition dans nos chères séries adorées. Pas vraiment intéressante ni mémorable, mais en même temps, on sait que quelque chose se trame. Alors on court dans tous les sens, on projette, on dort peu, la liste des trucs en cours et à terminer s’allonge, les feuilles des arbres rougissent et finalement, chaque jour qui passe ressemble au précédent.

Bref, si là présentement, l’on me demandait quels sont les deux films que j’ai envie de revoir, je répondrai sans hésiter « Punch-Drunk Love » et « Restless ».

La valise, quant à elle, il faudra bien que je trouve le temps de la vider et de la ranger. A moins de repartir quelque part avant. Au soleil tant qu’à faire. C’est pratique, elle est déjà prête. Prête à partir.

D’ailleurs, moi aussi je suis prête. Prête à partir. Là-bas. Avec lui bien sûr.

nostalgie souvenirs

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ink promenåd est avant-tout un aide-mémoire, un carnet de voyages, de pensées, de rêves, de doutes et de joies. Chaque article est une bouteille à la mer censée alléger le trouble-fêtes qu’est mon cerveau.

Céline, 34 ans, qui se cherche encore mais qui a enfin compris que le bonheur n’est pas une quête en soi: il fait déjà partie de nous.

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