Il y a ces week-ends où la vie semble si douce, si insouciante. Une lumière tamisée qui baigne la chambre où la grasse matinée est reine, des chats qui ronronnent, le chien qui n’attend qu’une chose: sortir. Le petit déjeuner est tardif, la balade digestive. Après le retour à la maison, sur le lit, chacun devant son ordi, à fermer les liens de la semaine qui vient de s’écouler, à coder, à murmurer des bribes de chansons sur la playlist du moment. Et puis ces quelques clichés, uniques, pris à la volée; tant pis pour le doigt sur l’objectif !
Il y a ces week-ends si singuliers, si sereins où rien ne semble insurmontable ou pénible. Où tout n’est que légèreté et espoir, émerveillement et gratitude, poésie et douceur de vie.
Laisser un commentaire