Le nouvel appartement dans lequel nous avons emménagé il y a tout juste 14 jours commence à prendre forme. Je l’aime d’amour. Super lumineux, une vue sublime et un agencement intelligent: architecturalement parlant, il a vraiment tout pour me plaire.
Les cartons, quant à eux, c’est une autre affaire. Trois déménagements en un an, (je n’en reviens toujours pas) c’est épuisant pour l’âme. J’ai fini par me poser beaucoup de questions quant à la quantité d’affaires que nous possédons. Pas seulement parce que vivre à Boston t’oblige à revoir tes envies de grandeur et d’aisance au mètre carré, mais surtout parce qu’à quoi bon garder 8 coquetiers ? (Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres..).
J’ai beaucoup trié en France, avant de partir. On a vendu, donné aussi beaucoup. On s’est également débarrassé d’un tas de choses, donc je ne me blâme clairement pas MAIS FRANCHEMENT, le we dernier j’ai eu envie de tout jeter tellement j’en avais marre.
(200 cartons au total..)
L’idée faisant son chemin, j’ai fini par me poser énormément de questions quant à mon rapport à l’objet, mes objets, nos objets. Je sais qu’il n’y a qu’une chose dont j’ai du mal à me séparer : les livres. Pour le reste, c’est décidé: pour chaque nouveau carton ouvert, nouveau tri. Je ne me suis pas fixée comme objectif un minimalisme déprimant. Je veux seulement garder le meilleur et en avoir moins.
Mantra du moment: Less is more.
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