J’ai pleuré bien plus cette semaine que ce que j’ai pleuré l’année dernière. Ce n’est pas tant les épreuves qui m’enfoncent mais l’accumulation. Au bout d’un moment, cela devient tout simplement too much. Et vendredi, une mini goutte d’eau a suffit pour faire tout déborder.
J’en ai marre que l’on me dise qu’il y a de l’espoir. J’en ai marre que l’on me dise que telle personne s’en est sortie. J’en ai marre que l’on me dise que tout va bien se passer. J’en ai marre que l’on me dise de sortir, de me changer les idées et de ne pas y penser.
Parce qu’en attendant, je suis là, à devoir gérer mes émotions et mon désespoir; et toutes ces bonnes paroles ne font pas avancer le schmilblick. J’ai juste envie de crier aux gens de fermer leurs gueules mais je me tais et souris en hochant la tête.