Oh, que j’aime ces dimanches parfaits baignés par la paresse des esprits, la lenteur des corps et l’insouciance générale de la maisonnée. Ces dimanches où l’on choisi la simplicité, l’oisiveté et le calme. L’atmosphère est chaleureuse et réconfortante; les minutes s’égrainant lentement, doucement, posément. Le tourne-disque nous berçant principalement grâce à George Gershwin et Miles Davis.
Oh, que j’aime ces dimanches parfaits sublimés par cette allégresse candide, les siestes non programmées et les petits plats mijotés avec amour, patience et bienveillance.
Ce dimanche n’a pas dérogé à la règle: crêpes et orecchiette à la sauce Bolognaise, câlins et complicité, repos et délectation.
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